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27 Nisan 2016 Çarşamba

Systematic and planned terrorism of Armenians in Turkey



GENOCIDES COMMIS PAR LES ARMENIENS
A VAN, BITLIS, MUŞ ET KARS -
INTERVIEW DES TEMOINS VIVANTS



PREFACE
Les Armeniens qui tiennent une place importante dans l’histoire turque, ne se sont pas subitement revoltes a partir de 1890. Ce mouvement s'est prepare pendant une periode historique au cours de laquelle fut lancee artificiellement une "question armenienne" sous Faction des societes dissociations fondees tant a l'interieur du pays qu'au dehors, par les activites de eglises, ecoles et missions, et avec l'encouragement et a l'incitation des pays occidentaux qui avaient des visees sur l'Empire ottoman. Cette formule fut remplacee pendant la Premiere Guerre mondiale par le mythe du "genocide armenien” qui se perpetue depuis quatre-vingts ans.


Parmi les minorites que les Turcs abritent depuis des siecles et, auxquelles ils accordent des droits et des privileges plus qu'a luer propre pueple, coreligionnaires et concitoyens figure la minorite armenienne. Bien quelle fut la communaute sur laquelle 1'Etat ottoman comptait le plus, с etait bien elle qui posait le plus de problemes et qui a l'incitation de l'Occident assayait de façon systematique d'aneantir la population turque au sein de laquelle elle vivait. Et cela d'autant plus que tout en faisant couler le sang, les Armeniens ne se priverent pas de crier au secours en disant: "notre sang coule, on nous tue, on nous expulse, on nous extermine!". Lorsqu'ils ont quitte le pays avec ceux qui les avaient pousses a la trahison, ils tenterent de frapper le pays de terreur, mais ne pouvant pas a reussir dans leurs entreprises, ils userent alors des methodes scientifiques et a nouveau de mensonges et de calomnies. Cependant a ce jour, on n'a pu trouver aucun document prouvant que ni les Armeniens, ni les autres minorites aient ete malmenes, ni massacres tant dans l'histoire turque moderne que dans les temps anciens. Bien que les recherches aient ete effectuees dans ce sens depuis cent ans, on n'a pas trove un seul document de ce genre jusqu'a present ni en Turquie, ni ailleurs.


Pourtant il est important de repondre a la propagande partisane, de faire connaitre les realites scientifiques, d'eclairer les opinions publiques turques et etrangeres et, bien entendu, de les convaincre. C ’est pour cela que, tout en organisant des reunions scientifiques dans plusieurs villes, nous entreprenons de nouvelles activites scientifiques. Ce sont des excavations de sepultures communes qui ont ete effctuees en Anatolie orientale en sept endroits, dont la premiere au village d'Oba, dependant d'Igdir, en mars 1986, la deuxieme au village d’Alaca, dependant d'Erzurum, en ju illet 1986, la troisieme dans le district d'Erciş, dependant de Van, a la meme date, la quatrieme dans le village de Yeşilyayla, dependant d'Erzurum, en octobre 1988, la cinquieme dans le village de Zeve (Zaviye), dependant de Van, en avril 1990, la sixieme au village de Subatan, dependant de Kars en juin 1991 et la septieme enfin au village de Timar, dependant d'Erzurum, en juillet 1993. Des centaines, voire des milliers de femmes, de jeu nes filles, d'enfants, de vieillards, qui etaient des Turcs, ont ete systematiquement massacres par les Armeniens dans ces regions. A la suite de recherches scientifiques et d'etudes faites sur place, le nombre des sepultures communes est evalue aujourd’hui a deux cents dont nous effectuons les excavations selon un plan determine.


Ains la "question armenienne" par ces activites prend une forme scientifique et la Turquie, sur la defensive a ce sujet, devient dorenavant offensive. Neanmoins il faut poursuivre et persuader ['opinion publique mondiale. C'est pour cette raison que ces activites ne doivent pas rester locales, mais qu'elles doivent etre somises a l'opinion publique mondiale et trouver leur juste place dans la litterature mondiale. Nous croyons que tout en dispersant ces activites a Erzurum, Van et Kars, en trouvant non seulement des documents historiques mais aussi des materiaux archeologiques et enthropologiques en faisant entrer en relation les dirigents, les hommes de science, de presse avec le peuple, en realisant des interviews de temoins vivants (Gazi), en les filmant, nous pourrons eclairer l'histoire turque, qui, depuis des annees, est laissee dans l'ombre ou exploitee, et apporter aussi des preuves devant l'opinion publique turque et mondiale.


Ces interviews, que nous appelons "histoire vivante", constituent l'une des sources importantes de l'histoire, qui a besoin d'etre rectifiee, grace aux temoins vivants, qui disparaissent de jour en jour, a Van, Bitlis, Mu§ et Kars. Nous avons filme les endroits oil la population civile a ete systematiquement martyrisee par les Armeniens pendant la Premiere Guerre mondiale et la Guerre Nationale; nous avons photographie des temoins vivants et egalement realise des interviews de 62 d'entre eux en plus de ceux que les chercheurs des universites locales ont realises. Dans ce livre nous publions d'une part les resultats de ces recherches a l’adresse de l'opinion publique mondiale et d'autre part, en accord avec les equipes de la Direction Generale de la Radio et de la Television Turques, ces resultats se sont diffuses par les televisions turques a partir du 24 mars 1994 comme un "Documentaire d’Histoire Vivante" et le seront par la suite par les televisions etrangeres.


C’est ainsi que 80 ans apres nous mettons devant l'histoire, nous prouvons et enregistrons une fois de plus les erreurs et les pretentions des Armeniens par les interviews de temoins vivanfs et, quitte a deranger les ames des martyrs, par les materiaux, documents et arguments anthropologiques et archeologiques, trouves dans les excavations des sepultures communes et des martyriums de la region. Selon l'expression d'un temoins vivants "a un moment oil nous nous battions contre les septs Etats ennemis, nous avons egalement ete victimes des massacres armeniens". Et ceux qui dans ces massacres ont perdu leur vie, leurs maisons, leurs villages, districts et villes, qui ont ete bruJes et detruits, ne sont pas des Armeniens, mais c'est plus d'un million de Turcs d'Anatolie. Nous souhaitons vivement que l'on ne revoie plus sur la scene un tel drame humain non seulement en Anatolie, au Karabagh, a Chypre, en Bosnie-Herzegovine, en Tchetchenie, mais encore aucune autre region du monde et qu'une telle histoire ne puisse plus se repeter.


Le 24 avril 1995
Prof. Dr. Azmi SUSLU







SUMMARY
Armenians who have an important place in the Turkish History have not rebelled suddenly since 1890 s. The rebellion of Armenians has a phase of preparatory in its historical process. For, in that phase, so-called "Armenian Problem" had been falsely produced by the societies and associations which were established in or abroad, by the activities of churches, schools, and missionaires, and also especially by the provocative and stimulative efforts of Western States which had political aspirations on Ottoman Empire. Afterwards, during the World War I, "Armenian Genocide" had been proposed for a new formula which wherefore was instead of "Armenian Problem". Whereore, this "legend" has continued for 80 years.


For a thousand year! Armenian minority is one of those minorities, that had been embraced without any racial segregation and presented more rights and privileges them than Turkish people which were from common race and language, by Turks. Though Turks had much more credit in them, yet they were the cause of annoyance and succeding the very systematic manner, attempted to destroy the Turks by the provocations of West. Not only they satisfied with this much, but also, while they were sheding Turks blood, raised a clamour thus: "Our blood is being shed, we are being killed, forced to emigration, exposed to genocide!" After leaving the country with those men who led them to treachery, they had exercised the divers terror operations, but couldn't be successful. Henceforth, at this time, by using the scientific methods, they have proposed to reach that which desire it. Again, deviating from the truth, they directed themselves to the ways of error andfalse accusation. It is manifest that there is no scientific document to prove that Armenians or other else minority, were exposed to the act of killing a whole race, and contemted in the last or any period of history of Turks. And so, any scientific document in any place could be discovered, though it had been searched very carefully for about a hundred year.


But it is an important thing that the scientific truths were discovered, declared to the native and foreign people, and persuaded them, as well it was answered to concentrated and biased propaganda of Armenians. Wherefore, recently, the new scientific activities are being done for the purpose to reinforce the scientific assemblies in many provinces of Anatolia. These are to excavate the graves in a group. The first of these, that were excavated in seven places of Eastern Anatolia, is in Igdir Oba on March 1986, second in Erzurum-Alaca on July 1986, third in Van-Ercis on July 1986, fourth in Erzurum - Yesilyayla on October 1988, fifth in Van-Zeve (Zaviye) on April 1990, sixth in Kars Subatan on June 1991, and seventh in Erzurum-Timar on July 1993. Thus, it was manifestly appeared that thousands of Turkish people together with whose women or daughters, children or old men, were killed because of the violence and genocide of Armenians by their systematic and planned terrorism in these place. The approximate number of these graves in a group which were discovered by great and long scientific researches and local scannings, is 200. Hovewer, perpetual excavations of these graves were going on.


By all which, when Armenian matter was drawn to the scientific ground, Turkey does not only make self-defence, but also begins to attack. But it must be continued the scientific activities, and persuaded the whole world. Wherefore,likewise that such of the scientific activities must not only be locally, but must be presented to the whole world and must take a place in the world literature. 


This kind of activities as in Erzurum, Van, Kars, must become more widespread. And also, archaeological and anthropological datas must be produced on this field. Likewise, by interrogating the Living Wittness, or Ghazis, and filming them, the specialists in this field, scholars, and press-men have to join, be mixed, unite with these people. By means of these activities, in our opinion, history of Turks which was both darkened and exploited will be illuminated, as well as it will be proved or registered officially in the sight of the whole world.


Even though it must be confirmed, the scanning of "Living History" is one of the most important sources of history. Wherefore, we have scanned Ghazis who are day by day becoming less inhabitants of Van, Bitlis, Mus, Kars, for two years. It was scanned and filmed the residences of civil people who had been killed systematically by Armenians during the World War I and the Turkish War of Independence, martiriums, and the Ghazis. It was interviewed 62 living Ghazis who had been interviewed by the lecturers of universities in that region. In this book, we shall present the results of this research. And also they were broadcasted as a documentary programme which was called "Living History" by the second channel of TRT all over the Turkey and abroad. Afterwards, it will be broadcasted on other local and foreign channels of TV.


As a result, once again, in the presence of history, it was concluded that Armenian ideas are inconsistent with the truth, as they lack of witnesses, anthropological and archaeological datas, documentaries, proofs which were obtained by excavations of graves in a group and martiriums. As a Ghazi said to me: "When all the Western World attacked us, we did not only fight with them, but also we were exposed to the genocide committed by Armenians." During this genocide, those that were killed, that had their homes and their villages, as well as all of their properties destroyed were not Armenians, but more than one million muslim Anatolian people. We hope sincerely that this tragedy of mankind is not repeated once again in now here that is neither only in Anatolia, Karabag, Cyprus, BosniaHerzegovina, nor in the whole world.


24 th April, 1995
Prof. Dr. Azmi SUSLU












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DO NOT BELIEVE IN FABRICATED ARMENIAN LIES